VO2 Run est mort, vive Forrest !
Toi coureur, tu sais ce que tu ne veux pas. Tu sais aussi ce que tu veux. Quand tu as commencé à courir, tu n’as vu que de la souffrance, un chemin ardu qui t’a transformé peu à peu. Et peu à peu tu as commencé à aimer ça. Pas la souffrance, non, la transpiration, le cœur qui bat plus fort, ton corps qui se sent vivant, ton âme qui respire à pleins poumons.
Et tu t’es mis à voir de la course à pied partout. Le matin, dans les transports en commun, ton regard est attiré par les coureurs matinaux. Pendant la pause de 11 h, tu écoutes une playlist dont tous les titres incluent le mot “Run”.
À midi tu vas courir, et si tu ne peux pas, tu essaies au moins de “faire des pas”. Tes collègues te demandent pourquoi tu cours et tu sens que tu peux les amener à changer leur vie, à eux aussi.